Centre for Internet & Society

Prof. Subbiah Arunachalam, CIS Distinguished Fellow, will give a talk titled 'Scholarly Communication in the Age of the Commons -- A Southern Perspective' at IDRC, Ottawa, Canada, on 13 July 2009.

Brown Bag Presentation:  ‘Scholarly communication in the age of the commons - A southern perspective’ by Subbiah Arunachalam, Distinguished Fellow, Centre for Internet and Society, Bangalore, India
 
Date: July 13, 2009
Time: 1400 hr
Location:  IDRC
150 Kent Street
Ottawa, ON, Canada
Room 950
RSVP: Nicole Leguerrier  [email protected]
           
The toll-access journal system that was set up some 350 years ago and which has served well till a few decades ago evolved, for historical reasons, largely to serve the needs of North-North knowledge exchange and has failed to take cognizance of the aspirations of the South. The need for science to be performed everywhere and take roots in all countries is now well recognized.  If OA is so very important to the South, why is the progress slow? While computers, internet access and bandwidths continue to pose problems in a number of southern countries, in general the situation is improving. The more important factor is scientists' apathy. Scientists in the South, by and large, do not exercise their rights to the full; often they give away on a platter copyright to their research papers to journal publishers. The publishers themselves indulge in practices that would entice publishing scientists and librarians to act in ways that would benefit the publishers. Funding agencies and governments of southern countries are not as proactive as they should be. 
 
Focused advocacy on the advantages of the public commons approach can bring about some revolutionary changes. Such advocacy should be aimed at all levels of stakeholders. Some examples of what is being done in India will be presented.
 

 

Biography

Subbiah Arunachalam (Arun) is a Distinguished Fellow with the Centre for Internet and Society (CIS), Bangalore, a research and advocacy organization that was founded in August 2008.  Before then, he was a volunteer for 12 years with the M S Swaminathan Research Foundation, a Chennai-based NGO, promoting the use of information and communication technologies to empower the poor and the marginalized and bring about holistic rural development.
Arun is an advocate of open access to scientific and scholarly literature and has conducted several workshops on knowledge management, electronic publishing, open access archiving, science communication, and South-South Exchange for sharing knowledge among development workers from Asia, Africa and Latin America. Arun has been a Visiting Professor at the Indian Institute of Technology, Chennai, University of Calcutta, Annamalai University, National Institute of Advanced Study, Bangalore, and Asian Collegeof Journalism, Chennai. Immediately after returning to India Arun will join the Institute of Mathematical Sciences, Chennai, as a visiting scientist. Arun has been a member of the Executive Committee of Global Knowledge Partnership (GKP) for two terms, and is currently a member of the International Advisory Board of IICD, The Hague, and a Trustee of both the Voicing the Voiceless Foundation, New Delhi, and the Electronic Publishing Trust for Development, UK.
 
---------------------------------------------------------------------------
 
Causerie-midi: La communication scientifique à l’ère des biens communs – perspectives du Sud, par Subbiah Arunachalam, chercheur associé de marque au Centre for Internet and Society, Bangalore (Inde)
 
Date:    le 13 juillet 2009
Heure:   14 h
Lieu:    CRDI
150, rue Kent
Ottawa (Ont.) Canada
pièce 950
RSVP:    Nicole Leguerrier ([email protected])
 
Pour des raisons historiques, le système des publications scientifiques payantes mis en place il y a trois siècles et demi et qui a produit des résultats satisfaisants jusqu’aux dernières décennies sert maintenant, en grande partie, l’échange de connaissances Nord-Nord et ne prend pas en compte les aspirations du Sud. La nécessité de favoriser partout l’activité scientifique et de conforter son enracinement dans tous les pays est aujourd’hui généralement admise. Si le libre accès revêt une telle importance pour le Sud, pourquoi les progrès sont-ils si lents ? Bien que les ordinateurs, l’accès Internet et la bande passante continuent de poser problème dans un grand nombre de pays du Sud, la situation a somme toute tendance à s’améliorer. Le facteur qui joue le plus est dès lors l’apathie des chercheurs. De façon générale, les scientifiques du Sud n’exercent pas pleinement leurs droits : ils cèdent les droits d’auteur sur leur article à l’éditeur de la revue. Et les éditeurs se livrent à des pratiques qui incitent les auteurs et les bibliothécaires à agir à leur avantage. Les bailleurs de fonds et les gouvernements des pays du Sud, quant à eux, ne sont pas aussi proactifs qu’ils le devraient.
 
Un plaidoyer axé sur les avantages des biens communs pourrait produire des changements révolutionnaires. Ce plaidoyer doit viser toutes les parties prenantes. M. Subbiah Arunachalam livrera des exemples d’initiatives en cours en Inde.
 

 

Notice biographique

Subbiah Arunachalam (Arun) est chercheur associé de marque au Centre for Internet and Society (CIS) de Bangalore, un organisme de recherche et de plaidoyer fondé en août 2008. Il a été auparavant bénévole, pendant 12 ans, à la Fondation de recherche M.S.Swaminathan, une ONG de Chennai ayant pour vocation d’encourager le recours aux technologies de l’information et de la communication afin de rendre les populations pauvres et marginalisées plus autonomes et de favoriser un développement rural global.
 
Arun est partisan du libre accès aux publications scientifiques et savantes et a animé plusieurs ateliers sur la gestion des connaissances, l’édition électronique, l’auto-archivage, les communications scientifiques et les échanges Sud-Sud afin de favoriser la mise en commun des connaissances parmi les professionnels du développement d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine. Il a été professeur invité à l’Institut indien de technologie de Chennai, à l’Université de Calcutta, à l’Université Annamalai et au National Institute of Advanced Studies de Bangalore. Il a siégé au comité exécutif de l’Alliance mondiale pour le savoir (GKP) pendant deux mandats et siège actuellement au comité consultatif international de l’Institut international pour la communication et le développement (IICD), à La Haye, ainsi qu’aux conseils d’administration de la fondation Voicing the Voiceless de New Delhi et de l’Electronic Publishing Trust for Development, au Royaume-Uni.

 

Filed under: